Comment augmenter son métabolisme ?

Comment augmenter son métabolisme ?

Certain·es mangent de tout sans grossir, d'autres non. Le coupable ? Le métabolisme. On vous explique comment fonctionne le vôtre et nos astuces pour le booster.

La nature est parfois injuste : certain·es mangent ce qu'ils·elles veulent sans prendre un gramme, quand d'autres non. Le responsable ? Le métabolisme. Avec Laura Martinez, diététicienne du sport, on vous aide à y voir plus clair sur son fonctionnement et comment l'influencer.

Qu'est-ce que le métabolisme basal ?

Le métabolisme basal, ou métabolisme de base, c'est l'énergie (exprimée en kilocalories) que l’organisme utilise pour fonctionner au repos, c'est-à-dire l’énergie minimum nécessaire pour assurer les fonctions vitales au repos comme la respiration, la digestion (10% des dépenses de la journée), la thermogenèse (garder le corps à la bonne température), la circulation sanguine, combattre les infections, régénérer les cellules ou bien encore parler, penser (le cerveau est l'organe qui consomme le plus de carburant).

« Plus précisément, il s’agit de la dépense énergétique nécessaire pour entretenir la vie d’un individu au repos, éveillé·e, allongé·e, à jeun depuis plus de 12 heures à 22°C au calme émotionnel » ajoute Laura Martinez, diététicienne du sport.

À ce métabolisme de base s'ajoute l'énergie brûlée en plus pour effectuer toutes les tâches du quotidien (lire, aller au travail, travailler, préparer à manger, faire les courses...) et pendant ses séances de sport.

« De manière générale, quand on parle de métabolisme, on parle de métabolisme de base. Le métabolisme actif correspond quand à lui aux déterminants de la dépense énergétique comme la thermogenèse, l'activité physique, l'action dynamique spécifique d'un aliment (la quantité d’énergie dépensée par le corps pour la digestion) » précise la professionnelle.

Le métabolisme de base brûle environ les deux tiers des calories consommées chaque jour. 

Comment augmenter son métabolisme ?

Fun fact : une personne lambda, en dehors de toute épreuve sportive intense, brûle plus d'énergie à ne rien faire qu'en pratiquant une activité physique : « L'activité physique, en dehors des marathonien·nes et des sportif·ves de haut niveau, ne consomme pas plus de 10 à 15 % des calories quotidiennes » assure le professeur Benoît Arsenault dans l'émission Moteur de Recherche. 

Il ne s'agit bien évidemment pas de remettre en cause l'intérêt du sport dans notre quotidien, mais plutôt de revoir un peu ce que l'on pensait savoir sur le métabolisme.

💡 À savoir :

Le catabolisme correspond en quelque sorte à la dégradation de matières organiques dans le corps entraînant une libération d'énergie. L'anabolisme est plutôt le phénomène inverse, la synthèse de molécules qui consomme de l'énergie. Les deux concourent au phénomène de métabolisme, la base de notre fonctionnement.

Le métabolisme de base (MB) est différent d'une personne à l'autre. Il est fonction d'un nombre incalculable de paramètres comme, entre autres, l'âge, le sexe, la taille, le poids, l'état de santé, le taux de masse grasse, de masse musculaire, l'équilibre hormonal, la génétique… Par exemple, plus une personne a une masse musculaire importante, plus sa dépense énergétique est élevée. Les hommes consomment généralement plus de calories à cause d'un taux de masse musculaire plus important.

Le métabolisme de base représente environ 60 à 75 % des dépenses énergétiques d'une personne plutôt sédentaire.

Qu'est-ce un "bon" métabolisme ? 

Pour la diététicienne, s'il existe des métabolismes différents, certains plus lents que d'autres, on ne peut pas vraiment parler de bon ou mauvais métabolisme : « Je pense que ce serait compliqué à définir. Il existe des métabolismes différents en fonction des morphotypes, des métabolismes plus ou moins rapides, mais ça ne veut pas dire qu'ils soient moins bons. Avoir un métabolisme lent par exemple ne signifie pas qu'on est en mauvaise santé. À l'inverse, un métabolisme adapté à sa dépense énergétique est plutôt un signe de bonne santé ».

Et un métabolisme "lent" ?

Un métabolisme lent est un métabolisme qui brûle moins vite l'énergie consommée dans une journée. Les personnes qui ont ce type de métabolisme ont tendance à stocker plus facilement l'excès calorique.

« La génétique peut expliquer un métabolisme plus lent, mais cela peut aussi être lié à une pathologie, un manque de sommeil, un déséquilibre hormonal... ».

Les trois morphotypes :

  • L'ectomorphe possède un métabolisme rapide, il brûle beaucoup de calories au repos, ne prend généralement pas de poids mais a également du mal à prendre de la masse musculaire.
  • Le mésomorphe a un métabolisme qui élimine plutôt bien les graisses et, à l'inverse, a des facilités à prendre de la masse musculaire.
  • L'endomorphe a un métabolisme plus lent, a tendance à stocker plus facilement les graisses.

Quel métabolisme de base pour les hommes et les femmes ?

Il n'est pas rare de trouver en ligne des chiffres indicatifs sur le métabolisme de base. Pour notre experte, ces chiffres ne sont pas nécessairement très pertinents.

Comment augmenter son métabolisme ?

« Le métabolisme de base est lié à tellement de paramètres, qu'à mon sens donner une moyenne n'a pas beaucoup d’intérêt. Idem pour les apports caloriques journaliers recommandés. On dit généralement que pour une femme c'est environ 1900/2000 kcal par jour. Mais comment peuvent s'y retrouver une femme mesurant 1,80 m pour 75 kilos et faisant du sport 5 fois par semaine et une autre mesurant 1,55 m pour 60 kilos ? Elles n'ont pas les mêmes besoins ni même probablement pas le même métabolisme de base. » 

Pour avoir des données personnalisées et un peu plus précises, plutôt que se fier à des moyennes trop généralistes et donc très peu utiles, il est préférable de calculer son propre métabolisme.

Comment calculer son métabolisme basal ?

Il existe plusieurs formules pour calculer son métabolisme basal. Selon notre diététicienne du sport, les méthodes les plus populaires auprès des professionnels de la nutrition et de la santé actuellement sont la formule de Harris & Benedict (la plus ancienne) et celle de Black & Al. (la plus complexe).

À noter : si en utilisant les deux méthodes, vos résultats diffèrent, « il suffit de faire une moyenne des deux » dixit la diététicienne.

« Pour ce genre de calcul, on tient compte du poids, de la taille, du sexe et de l'âge. Ces méthodes sont populaires, mais elles sont aussi assez génériques. Il en existe des encore plus précises, mais elles sont aussi plus coûteuses, comme la calorimétrie directe ou la calorimétrie indirecte. »

Calculer son métabolisme de base est assez complexe et si l'on souhaite être vraiment précis·e. Il faudrait également tenir compte, selon Laura Martinez, de son niveau d'activité physique et de sa composition corporelle (taux de masse grasse et taux de masse musculaire) que l'on peut déterminer à l'aide d'une balance à impédancemétrie, de préférence chez un ou une diététicien·ne ou professionnel•le de santé, car les modèles pour les particuliers ne sont pas assez précis. 

La professionnelle précise : « Tenir compte de ces différents paramètres permet de faire une estimation plus juste de ses besoins énergétiques journaliers. Enfin, j'ajouterais que connaître ses besoins, avoir ce genre de données est intéressant, mais à titre purement informatif. Il ne faut pas oublier de s’intéresser aux signaux que nous envoie notre corps comme les sensations de faim ou de satiété ».

Pourquoi vouloir augmenter ou diminuer son métabolisme ?

Avoir un métabolisme plus rapide, qui brûle plus vite toutes les calories que l'on ingurgite, c'est le bon plan pour ne pas prendre de poids. La perte de poids est d'ailleurs généralement la motivation première quand on cherche à augmenter son métabolisme.

« Mais on peut aussi vouloir l'augmenter pour des raisons de santé, précise la professionnelle. Quand la baisse du métabolisme est liée à une pathologie, au manque de sommeil, au stress, on peut chercher à vouloir l'augmenter. » 

Parmi les autres avantages à avoir un métabolisme plus rapide on retrouve une meilleure circulation sanguine, un meilleur sommeil et une meilleure digestion, un poids stabilisé. Comme le soulignait l'experte, un métabolisme rapide est plutôt un signe de bonne santé, les marqueurs ont donc tendance à être meilleurs. « Mais attention, précise la diététicienne, si on peut modifier un peu son métabolisme, on ne le changera pas radicalement du jour au lendemain ».

Si vouloir augmenter son métabolisme est assez répandu, à l'inverse, vouloir le réduire, d'après la pro, serait beaucoup plus anecdotique : « Je n'ai jamais entendu de personne qui souhaitait ralentir son métabolisme. Cela reviendrait à faire en sorte que le métabolisme brûle moins de calories au repos. »

Quid des régimes restrictifs ?

Les régimes hypocaloriques sont connus pour ralentir le métabolisme, l'une des raisons pour lesquelles ils ne fonctionnent pas. 

Laura Martinez nous éclaire sur ce point : «  Quand on se lance dans un régime restrictif, les apports alimentaires sont extrêmement bas, ils se rapprochent des besoins du métabolisme de base quand ils ne sont pas en dessous. Cela entraîne certes une perte de poids rapide, mais une perte de poids liée à la perte de masse musculaire en priorité, ce qui entraîne un ralentissement du métabolisme. Le corps se met en quelque sorte en mode économie d'énergie. Dans un objectif de perte de poids, il est plus intéressant de mettre en place un déficit calorique léger associé à de l'activité physique. »

Quels sont les mécanismes pour perdre du poids ?

Perdre du poids n'est parfois pas une mince affaire. Pour comprendre concrètement comment ça marche et surtout comment s'y prendre, on vous donne rendez-vous dans notre article dédié.

Comment augmenter son métabolisme ?

Comment augmenter son métabolisme et avoir un métabolisme rapide ? 

Le calcul est assez simple : plus on se dépense physiquement, plus on augmente sa masse musculaire et sa dépense d'énergie et plus son métabolisme augmente.

Dès lors, booster son métabolisme de base passe par trois piliers essentiels : l'activité physique régulière en bougeant tous les jours, dès que possible ; une alimentation équilibrée qui vise à la construction et au maintien de la masse musculaire et un mode de vie sain avec un sommeil réparateur notamment.

Si vouloir augmenter son métabolisme semble logique pour des questions de santé ou de perte de poids, dans les faits, la diététicienne note que c'est rarement une demande claire des patient·es : « On parle plutôt en termes de composition corporelle, de prise de masse musculaire, de perte de masse grasse, de sèche. On fait du sport pour augmenter sa dépense énergétique et in fine booster son métabolisme, mais de manière générale, il est extrêmement rare que l'on décide d'aller à la salle en se disant "je vais augmenter mon métabolisme de base". On ne le conscientise pas de cette façon. »

Et comment ralentir son métabolisme ?

Comme nous l'avons vu plus haut, chercher à ralentir son métabolisme ne présente pas vraiment d’intérêt. Il est possible d'arriver à cette équation en réduisant ses apports caloriques et en augmentant ses dépenses énergétiques en faisant pas mal de sport. Le corps risque alors effectivement de se mettre à tourner au ralenti, mais aucun intérêt d'un point de vue musculaire. Cela est même contre-productif. Et notre experte d'insister : « Je n'ai jamais vu ce genre de demande ». Une pratique à oublier donc.

Comment améliorer son métabolisme de base naturellement, sans faire de sport ?

Selon notre experte, il est possible d'augmenter son métabolisme basal sans faire de sport, mais cela ne sera pas une mince affaire : « Oui, on peut trouver des exceptions au cas par cas, certaines personnes vont avoir des prédispositions génétiques pour ce genre d'objectif. Il est possible d'augmenter son métabolisme sans faire de sport, mais si on est complètement sédentaire, ça va être compliqué. Il va falloir jouer, par exemple, sur le sommeil, la gestion du stress, l'équilibre alimentaire, tous ces facteurs environnementaux qui contribuent à la bonne santé ».

Comment augmenter son métabolisme ?

Pour y arriver, il faut mettre en place différentes stratégies :

  • Multiplier les petits repas, faire cinq prises alimentaires au lieu de deux ou trois repas par jour, en privilégiant les aliments les plus énergivores en termes de digestion comme les aliments riches en protéines (la digestion a un coût énergétique plus ou moins important selon les aliments) ;
  • Prioriser les protéines avec un apport à chaque repas ;
  • Préférer les glucides complexes aux glucides simples ;
  • Bien dormir, un manque de sommeil ou un sommeil de mauvaise qualité peut ralentir le métabolisme.

En ce qui concerne les aliments dits brûle-graisses qui favoriseraient la perte de poids, type piments, huile de coco, eau fraîche, produits laitiers, café, compléments alimentaires, Laura Martinez rappelle  « qu'aucune étude scientifique n'a prouvé que certains aliments pouvaient accélérer le métabolisme. La whey peut être intéressante pour aider à maintenir sa masse musculaire quand on a du mal à couvrir ses apports protidiques journaliers. Mais si on a déjà une bonne couverture alimentaire en termes de protéines, cela n'aura pas beaucoup d’intérêt pour augmenter son métabolisme sans activité physique associée ».

Quels sports pour favoriser une relance métabolique ?

Le sport augmente naturellement le métabolisme en augmentant la masse musculaire, les dépenses énergétiques et en réduisant le taux de masse grasse.

Au moment de l’entraînement, le métabolisme tourne à plein régime. Pour fournir l'énergie et alimenter les cellules musculaires (catabolisme), le corps puise dans ses réserves. Sur le long terme, plus la masse musculaire est importante, plus l'organisme brûle de calories au repos. Le métabolisme de base augmente alors. À court ou moyen terme, pour améliorer votre métabolisme, mais aussi votre santé, vous avez donc tout intérêt à pratiquer une activité physique au quotidien

« Si on cherche le volume et la prise de masse, les sports type Cross Training ou les séances de musculation sont bien sûr tout indiqués. Mais pour maintenir, entretenir sa masse musculaire, je dirais que de manière générale toute activité physique qui crée de la dépense énergétique et du coup augmente les besoins du métabolisme est bonne. »

En d'autres termes, run, corde à sauter, fitness, vélo… Tous les sports sont bons à pratiquer, le plus important est de trouver le sport qui vous plaît pour pratiquer le plus souvent possible.

« La muscu n'est pas forcément le sport roi pour cette indication. J'en veux pour preuve les marathonien·nes qui ne passent pas tout leur temps à faire de la muscu et qui, en pourcentage de poids corporel, ont plus de muscles qu'une personne qui fait de l'haltérophilie » poursuit la diététicienne du sport.

Un recalibrage métabolique, c'est quoi ?

Le recalibrage métabolique est un rééquilibrage alimentaire qui vise à stimuler le métabolisme. Les nouvelles habitudes mises en place visent à éliminer les graisses stockées qui peuvent ralentir le métabolisme et à favoriser la prise de masse maigre.

« Quand on parle de relance ou de recalibrage métabolique, on parle surtout de prise de masse et cela passe souvent par du sport et une modification de la composition corporelle (prise de masse musculaire et perte de masse grasse). »
 
On notera tout de même que, si la composition de l'assiette est très importante dans le cadre d'une relance métabolique, il ne se passera pas grand-chose sans activité physique adaptée. Impossible pour l'organisme d’augmenter significativement sa capacité de dépense énergétique si vous restez inactif·ve. Et inutile de vous lancer dans des sessions sportives intenses chaque jour, il suffit juste de remettre le corps en mouvement pour les plus sédentaires ou d'augmenter son niveau d'activité physique pour les personnes déjà actives.

Comment augmenter son métabolisme ?

Accélérer son métabolisme pour maigrir, une bonne idée ?

Si vous souhaitez perdre du poids de façon saine et durable, accélérer votre métabolisme est effectivement un excellent moyen. Comme nous l'avons vu, accélérer son métabolisme permet de brûler des graisses et de maintenir un poids stable, mais cela n'a pas que des bénéfices pour la silhouette.

La meilleure façon d'augmenter son métabolisme est de viser une augmentation de sa masse musculaire. Cette dernière est connue pour ses multiples vertus santé : elle protège les articulations, soulage les douleurs chroniques, soutient l'immunité, prévient Alzheimer...). Accélérer son métabolisme est avant tout un geste santé !

Comment booster son métabolisme après 40 ans ?

Booster son métabolisme est bon à tout âge, mais il y a effectivement des périodes de la vie où c'est tout particulièrement indiqué. Et contrairement aux idées reçues, le cap de la quarantaine n'est pas le tournant le plus sensible : « À partir de 40 ans, on ne note pas encore vraiment de grand chamboulement. Les premiers changements commencent à opérer pour les femmes autour de la cinquantaine avec l'arrivée de la ménopause. Mais là, il s’agit davantage d'une problématique hormonale. Ce n'est pas tant que le métabolisme ralentit, mais plutôt le corps qui a tendance à stocker avec l'arrêt des œstrogènes. C'est plutôt à partir de 60 ans que l'on note réellement un ralentissement du métabolisme lié à l'âge. »

En 2021, un article paru dans la revue Science remettait en cause tout ce que l'on pensait savoir jusqu’à présent sur le ralentissement du métabolisme avec l'âge. Comme le souligne le Pr Arsenault, « Sur le long terme, la dépense énergétique est remarquablement stable. Elle atteint son apogée à l'âge d'un an, mais ensuite, contrairement à ce que l'on pensait, elle reste relativement stable tout au long de la vie, jusqu'à 60 ans où commence une chute lente et progressive ».

Pas de chute ou de changement drastique à craindre à partir de la soixantaine, rassurent les spécialistes, le ralentissement est lent.

Pour augmenter durablement votre métabolisme, rien de tel que l'activité physique ! Marche active ou renforcement musculaire : bouger régulièrement est la clé pour votre bien-être et un poids stable.

Comment augmenter son métabolisme ?

Jessica Xavier

Journaliste et rédactrice

Journaliste forme et bien-être depuis plus de 15 ans, je teste de nombreuses activités indoor et outdoor pour le travail et surtout pour le plaisir. Mes préférences ? La course à pied, la rando et le yin yoga. L'été, je ne dis jamais non à une balade en mer à bord d'un canoë ou kayak gonflable.

Sources :
Entretien avec Laura Martinez, diététicienne du sport
Étude Daily energy expenditure through the human life course, Herman Pontzer, Yosuke Yamada, Science, 2021
Émission Moteur de Recherche, Contrairement à la croyance populaire, le métabolisme ne ralentit pas en vieillissant

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