Avant de s’y attaquer, c’est quoi un squat ?
Pour Guillaume, coach : « Le squat, c’est la vie ! ». Et pour cause : observez un enfant en bas âge en train de jouer avec une voiture par terre. Il est très jeune et instinctivement, notre chérubin est en position de squat bas ou « ass to grass » (les fesses dans l’herbe) pour reprendre l’expression de nos amis anglais.
De son côté, Marie, kinésithérapeute me raconte qu’au retour de l’un de ses nombreux voyages dans un pays aux coutumes très différentes des nôtres, elle avait des douleurs aux genoux. Elle s’est aperçue que là où elle était, il n’y avait pas de chaises. Les habitants étaient habitués à être en squat bas, tandis qu’elle jonglait entre la position tailleur ou assise par terre sur les genoux.
Si on doit résumer ce qu’est un vrai squat, c’est une flexion du bas du corps qui permet aux fesses d’être proches du sol et au dos d’être droit. Oui, oui, c’est possible ! L’expression préférée de Guillaume, « Use it or loose it. » (Utilise-le ou perds-le.), résume bien le fait que sans entretenir un muscle, on en perd son bénéfice. Pas de panique ! On peut aussi inverser la tendance avec un entraînement progressif.
N’allez pas croire que vous retrouverez votre souplesse et votre force d’antan sans quelques entraînements. Mais c’est tout l’intérêt du défi à relever : pratiquer régulièrement, se voir progresser et réussir son squat en position naturellement basse. C’est parti !