L’intermodalité, c’est le mode de transport d’aujourd’hui et de demain ! Avec un vélo pliant, on pratique son activité sportive préférée, en l’ayant à portée de mains (et de pieds !), presque partout. Pour aller au travail, se déplacer pendant ses vacances ou ses week-ends, les transports. Pour ces derniers il y a des règles à suivre, on vous raconte ici !
S’il n’y a aucun problème à embarquer son vélo dans le coffre de la voiture, dans les transports en commun, il y a quelques règles à respecter, qui diffèrent selon les villes. Nous les avons répertoriées pour vous donner un petit coup de pouce !
Les villes du paradis du vélo !
Le vélo pliant est accepté gratuitement quelle que soit l’heure (à condition qu’il soit plié et qu’il ne heurte pas les autres usagers) à Bordeaux sur tout le réseau TMB ; à Lille sur les lignes Transpole ; à Montpellier sur toutes les lignes de tramway ; à Marseille sauf si le chauffeur estime qu’il y a trop de monde dans le bus ; à Nantes, si votre vélo pliant est petit, il est accepté dans tout le réseau sans limite mais doit avoir une courroie ou être dans une housse (si vous n’avez pas de housse, vous pourrez monter à bord des lignes TAN seulement avant 7h et après 19h30) ; à Nice ; à Rennes ; à Strasbourg sur l’ensemble du réseau CTS ; à Toulouse sur toutes les lignes Tisseo ; et enfin à Tours également, mais on peut vous refuser l’accès du bus ou du tramway FilBleu s’il y a vraiment trop de monde.
Les villes qui aiment le vélo… par intermittence !
Chaque ville a ses spécificités, et pour certaines, elles refusent tous les vélos aux heures d’affluences. C’est le cas de Clermont-Ferrand où le vélo pliant est interdit dans les bus, acceptés dans le tram sous certaines conditions : il ne doit pas y avoir plus d’un vélo par rame, cela hors des heures de forte affluence, soit du lundi au samedi entre 7h et 9h et de 16h à 19h. C’est encore plus restrictif à Paris, les vélos pliants ne sont malheureusement acceptés nulle part dans le métro, sauf sur la ligne 1 le dimanche et les jours fériés, jusqu’à 16h30. En revanche, ils peuvent être transportés sur les lignes du réseau RER.
Les villes mauvaises élèves…
Il faut s’armer de patience, les vélos – même pliés – ne sont pas admis à bord des transports en commun ni de Lyon, ni de Toulon. Au moins c’est un moyen mnémotechnique pour s’en souvenir : les villes en « on », on prend ses petits petons !
Un vélo pliant dans le TGV: quelles règles ?
S’il est pliant ou démontable, votre vélo doit être rangé dans une housse et l’accès au train est gratuit pour le vélo. En pratique, c’est parfois un peu plus souple et certains contrôleurs acceptent les vélos pliants sans housse.
En TER: que faire de son vélo pliant ?
Là encore, dans la limite des places disponibles, votre précieux t!lt est accepté gratuitement à bord, dans l’espace prévu pour les vélos.
Quelles conditions pour transporter son vélo dans le Transilien ?
Le vélo n’est accepté qu’en dehors des périodes de fortes affluences, c’est-à-dire du lundi au vendredi avant 6h30, de 9h30 à 16h30 et après 19h30 ; les samedis, dimanches et jours fériés. En revanche, avec un vélo pliant – considéré comme un bagage à main – vous devriez pouvoir voyager sans restriction. Il faudra juste veiller à ce qu’aucun élément ne risque de blesser quelqu’un ou d’endommager d’autres bagages.
Faire du vélo : cette sensation de liberté exclusive, le plaisir de découvrir du paysage, de visiter un endroit autrement... Autant de petits bonheurs qui ont une autre saveur sur 2 roues (ou 4 pour les plus petits). Surtout quand on sait que c'est bon pour la santé ET la planète ! Alors voici nos conseils pour trouver la pratique de vélo qu'il vous faut et profiter en toute quiétude de vos moments de cycliste.
Voilà ! Vous êtes désormais plus avertis pour transporter votre vélo intermodable en transport en commun. Si vous avez des questions ou si vous souhaitez partager votre expérience, n'hésitez pas à nous laisser un commentaire !