1/ Pratiquer la pelote : d’indéniables bienfaits physiques
Endurance et vitesse d’exécution, appréciation et anticipation, préhension et frappe...
La pelote basque se révèle un sport complet, qui exige un large éventail de qualités, quel que soit le niveau de pratique — loisir ou compétition. La technique peut être acquise dès le plus jeune âge via les enseignements au sein de clubs sportifs locaux (Écoles de pelote), puis stimulée par la participation à des championnats... Au fil des entraînements, la pelote basque développe à la fois :
la dextérité dans l’espace : placement, lecture des trajectoires (la fameuse « vista ») ;
l’ambidextrie : un droitier naturel utilise aussi sa main gauche, qui devient une arme de défense ;
le cardio : lié à la dépense physique lors de nombreuses courses courtes, d’aller-retour, de déplacements latéraux et marches arrières ;
la puissance : notamment celle de la partie supérieure du corps, puisqu’il faut frapper ou relancer la pelote et la rendre inaccessible à l’adversaire, ce qui induit de facto la notion de force.