Les bénéfices de ce sport
La pratique du One Wall trouve ses origines dans la rue, elle renforce les liens sociaux et peut s’intégrer facilement dans l’espace urbain.
On la retrouve proche des playgrounds new-yorkais (aires de sport) qui ont fait la réputation de Brooklyn. Plus récemment, le One Wall est apparu en France, à Roubaix où le premier court a été créé. On vient assister en famille aux défis de quartiers. On y retrouve les voisin·es et on échange, en bas de l’immeuble…
Le concept de Play Everywhere prend tout son sens avec le One wall, puisque ce sport est pratiqué dans plusieurs pays à travers le monde. On trouve de nombreux·ses adeptes en Europe (Belgique, Hollande, Italie, Allemagne, Grande Bretagne) mais aussi au Mexique avec des variantes de jeu de balles à main nue, comme la bola libre, avec gants de cuir.
En plus d’être un vecteur d’épanouissement, le One Wall développe chez les petit·es et grand·es, l’ambidextrie, les réflexes, ainsi que le cardio stimulé par des échanges intenses.
La pratique du One Wall est clairement accessible à tous·tes. Avec les balles en mousse et un mur, on peut facilement commencer à s’amuser seul·e ou à plusieurs.
Je suis Henri, j'ai 23 ans et suis adepte des sports de raquette. En rédigeant cet article, j’ai d'ailleurs eu l’occasion de tester ce sport : une balle de one wall, un collègue plus expérimenté, un mur à côté du bureau et c’est parti. Je me suis surpris à rapidement varier mes coups : de volée, un coup haut et puissant, en amorti… J’ai bien transpiré : les déplacements et les échanges peuvent être intenses, même s'il faut parfois s’économiser et jouer plus calmement. Enfin, le système de point rend la discipline très ludique et malgré ma courte défaite (11/10 - 11/10), j’ai passé un très bon moment. Alors, vous aussi, vous testez ?