Un maillot, un bonnet et un ballon : mais pas n'importe lesquels ! Choisir le bon équipement c'est m'assurer de prendre du plaisir en jouant.
Quand on commence ou que l’on se remet au water-polo, avoir le bon matériel est essentiel. Le bon équipement, c’est celui qui m’apporte facilité d’apprentissage, résistance, protection, sécurité, plaisir et liberté. Ballon, maillot, bonnet : voici les 3 incontournables de notre sport.
Le water polo pour WATKO c’est un sport qui se joue dans l’eau, avec au moins deux personnes qui s’affrontent avec un ballon dans le but de marquer.
Le ballon est donc la base du jeu. Attention au polo pas le droit d’attraper la balle à deux mains. Leur circonférence, leur poids et leur pression sont encadrés quand on joue en club. Et non : la colle n’est pas autorisée !
Mais les ballons sont énormes, comment je vais faire pour les attraper ? Déjà, on ne joue pas tous avec la même taille de ballon : il en existe quatre selon l’âge et le genre. Et puis c’est tout le rôle du grip. C’est parfois lui qui va faire toute la différence lors d’un entraînement ou d’un match.
En dehors du jeu en club, les ballons de découverte sont là pour apprendre les bons gestes progressivement. Leur légèreté et leur maniabilité sont autant d’atouts pour prendre des premières sensations dans les mains.
Pour découvrir comment ils sont faits, on vous amène de Hendaye au Viet Nam dans les coulisses de production de nos ballons.
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Ultra résistance au chlore, robuste face à la préhésion et une échancrure haute : voilà les qualités d’un bon maillot de polo.
Un maillot de bain de natation va souvent viser le confort, la stabilité lors de la nage et la liberté de mouvement. S’il peut convenir lors d’une initiation, ce dernier n’est pas adapté aux contraintes et au sport de contact qu’est le jeu. Les maillots de polo doivent donc autant résister au chlore qu’aux accrochages humains. Pour cela, ils sont doublés avec la même matière que le tissu principal. Les deux couches ont ainsi une résistance au chlore de 200 heures chacune. Ils se portent aussi plus serrés : attention lors de l’essayage, mais surtout pas d’inquiétude !
Les maillots homme ressemblent finalement à des slips de bain. La hauteur de hanche n’est pas très élevée, le boxer formellement déconseillé (aïe aïe aïe aux cuisses sinon). Seule leur résistance diffère.
C’est chez les femmes que la spécificité se remarque le plus. Pour favoriser les mouvements de rétropédalage, l’échancrure va être beaucoup plus haute que sur un maillot classique. De dos, il devient une forme tanga sur la fesse pour mieux permettre aux hanches de faire le mouvement.
Pour limiter les prises en main par les joueuses adverses, tout le dos est couvert et le col remonte un peu plus haut. La bonne taille, c’est celle où vous ne pouvez pas fermer votre maillot toute seule. Le water polo n’est pas un sport d’équipe pour rien ! Un peu déroutant au début, on se fait rapidement à la fermeture éclair, et au confort de pouvoir la laisser ouverte de temps en temps !
Le bonnet de water polo est la touche finale de l’équipement de base.
Sa fonction essentielle : vous protéger les oreilles des chocs. Il est aussi au sport ce que la chasuble est à la balle-au-prisonnier : un moyen de savoir dans quel camp vous jouez !
En tissu avec des protections plastiques sur les oreilles, le système de fermeture peut quant à lui varier selon les modèles. Une fermeture en cordon pour les plus grands, une fermeture à scratch pour les plus jeunes. Elle doit pouvoir résister à la traction du joueur adverse.
Pourquoi sont-ils principalement de trois couleurs ? Le rouge permet de repérer les gardiens. Quant au bleu et blanc, c’est un héritage des matchs internationaux où le blanc représente l’équipe qui reçoit et le bleu l’équipe invitée. Dans la réalité, les bonnets peuvent être personnalisés aux couleurs du club.
Pour l’exemple, l’un de nos bonnets Easyplay pour les enfants est de couleur verte.
Avec l’équipe, à force de jouer dans nos clubs respectifs, on s’est rendus compte que nos plus jeunes coéquipiers avaient parfois du mal à fermer leur bonnet et à faire les nœuds dans cet endroit qu’ils ne voient pas. On a réfléchi à une solution qui leur permette de le faire tout seul et d’être autonome. C’est comme cela qu’est né Easyplay.
Easyplay, c’est le bonnet de water polo pour les enfants. Son système d’accroche à scratch le rend plus simple à mettre et à enlever. On en a même profité pour moderniser les coques pour les oreilles et pour faire des coloris plus variés !
Enfin, n’oubliez pas de glisser une gourde dans votre sac ainsi qu’un petit encas pour la fin de l’entraînement.
Au final, l’équipement de base ne coûte pas très cher : avec une quarantaine d’euros, on peut déjà tout faire !
Si la paire de claquettes n’est pas obligatoire, elle est un confort et une sécurité à ne pas oublier. Qui ne s’est jamais retrouvé les fesses par terre suite à une glissade non désirée ?
L’autre valeur sûre c’est le peignoir. Bien épais pour protéger du froid ou en microfibre pour être léger dans le sac à dos, il sera votre meilleur allié sur le banc lors des matchs ou simplement sur les bords du bassin.
Enfin, pour garder votre équipement le plus longtemps possible, pensez bien à les rincer après chaque utilisation et à les stocker dans un endroit sec et aéré !