1/ Ralentir pour mieux ressentir
Le voyage à vélo débute sur le pas de votre porte, sur le quai d’une gare ou d’un aéroport lointain. Bref, partout. En prenant la décision d’enfourcher son vélo, on décide de voyager moins vite, de « parcourir » un territoire, une région, un pays avec une relative lenteur. Voyager à vélo, c’est changer de perspective. On n’est plus simples visiteurs, on appartient aux endroits que l’on traverse. Un coup de pédale après l’autre, on chemine, observe, écoute, on sent le paysage se faire et se défaire autour de nous. Au gré des kilomètres, le vélo cesse d’être un simple moyen de transport, il devient un véritable instrument de liberté !