PAS SI VITE.. ILS ONT TROUVE LA SOLUTION !
Pour éviter ce problème d’instabilité, l’industrie du billard a expérimenté divers matériaux synthétiques comme la bakélite, la galalithe, ou la crystallite, qui ont remplacé la celluloid. Aujourd'hui le principal fabricant mondial de billes (société Saluc) se sert de résines phénoliques. D’autres plastiques et résines telles que le polyester (sous différents noms commerciaux) et l'acrylique sont utilisés. Rien n'est recyclable aujourd'hui alors que la bille est un consommable. Le passage de l'ivoire à des matières plastiques industrielles n'étaient pas du qu'à des considérations de préservation de l'espèce. Avec l'ivoire, matière vivante :
1. Les billes s'allongeaient légèrement dans le sens du nerf de la défense pour tendre vers une bille ovale.
2. Avec une répartition des masses non homogène, certaines billes avaient un phénomène de balourd vers le côté.
3. La sphéricité n'étant pas parfaite, les billes pouvaient dévier de leur trajectoire initiale. Le développement de matière plastique adaptée à des billes sphériques, homogènes, résistantes, élastiques, lisses et normalisables, était poussé par l'essence même du billard : gagner en précision pour réduire l'incertitude.
Je continue sur la celluloid si vous êtes encore là.