Découvrez le lexique du bodyboard afin de maîtriser le jargon technique et pouvoir raconter vos exploits après chaque session !
L'ARS est la figure emblématique et l'une des plus difficiles techniquement à réaliser en bodyboard. Elle consiste à exécuter en sautant un 360° plus un "el rollo". Pour ce faire, il faut un maximum de vitesse avec des vagues bien creuses pour sauter suffisamment haut.
Comme en surf, le Air est la figure "basique" consistant à prendre de la vitesse et appuis sur la vague pour décoller dans les airs. De nombreuses variantes découlent de ce tricks.
Le barrel est utilisé dans le jargon du bodyboardeur pour désigner un tube. Le tube est formé lorsque la lèvre de la vague retombe est crée un "tunnel" dans lequel vient se loger le rider.
Le bottom-turn est une manœuvre qui s'effectue souvent en début de vague juste après le take-off. C'est un virage en bas de vague permettant de remonter vers l'épaule, là où il y a le plus de puissance.
On parle de backwash (le plus souvent en bord de plage, digue...) lorsque la vague qui se rapproche du bord vient "tapper" l'eau qui vient à contre sens (d'une précédente vague). Insurfable, cette vague peut néanmoins servir de tremplin comme pour le célèbre spot "The wedge"
Terme anglophone pour désigner la planche de bodyboard.
Dans le jargon, les pratiquants utilisent souvent le terme "biscotte" pour parler de leur planche de bodyboard, qui a effectivement la forme d'une biscotte.
C’est un spot où les vagues se brisent sur des bancs de sable, elles ne déferlent donc pas de façon régulière et à des endroits identiques. Ce sont généralement des vagues courtes.
De l'expression "passer la barre", consistant à rejoindre le pic (le meilleur endroit pour prendre les vagues). Lorsqu'on est sur la plage, les vagues qui cassent au loin forment une barre de mousse blanche. Suivant la taille et la puissance des vagues, cette barre peut être plus ou moins difficile à franchir. Il est souvent question de passer au milieu de la zone d'impact pour y parvenir.
On déclenche un cut back lorsque la vague perd en puissance. On va alors effectuer un virage arrondi vers la mousse jusqu'à la rencontrer et repartir dans le sens naturel de la vague.
Le canard est une "figure" essentielle pour remonter au pic, en plongeant avec la planche sous la vague. Sans quoi vous risquez de reculer autant que vous avanciez, vous épuisez, et ne jamais parvenir au pic.
C'est une vague qui déroule vers la droite lorsqu'on regarde la plage depuis l'océan. En opposition aux gauches.
Terme anglophone pour désigner le canard, permettant au bodyboardeur de remonter au pic, en passant sous les vagues.
Le deck est le dessus de la planche.
Le drop knee est une position dans laquelle le rideur, plutôt qu'être à plat ventre sur sa planche se met à moitié debout. Le pied avant à plat sur la planche et à genoux à l'arrière. Autant vous dire que cela ajoute une difficulté supplémentaire, surtout avec des palmes.
C'est la partie de la vague sur le point de déferler. La zone où il y a le plus de puissance, et où doit se placer le surfeur.
C’est quand il n’y a aucun semblant de vague sur le plan d’eau, la traduction littérale est « plat » c’est donc quand le plan d’eau est complètement plat, quand il ressemble à un lac.
C'est une manoeuvre qui consiste à passer une section longue en glissant au dessus de la lèvre.
C'est une vague qui déroule vers la gauche lorsqu'on regarde la plage depuis l'océan. En opposition aux droites.
Terme couramment employé pour désigner la surface des vagues semblable à de l'huile, sans clapot, sans une ride. Lorsque les vagues sont glassy, la glisse est plus fluide, plus agréable et la session s’annonce parfaite.
L'inside c’est la dernière section de la vague, celle qui casse plus au bord, par connexion avec la section outside ou par reforme.
La lèvre, c’est la partie la plus haute qui s’abat lorsque la vague déferle. Plus elle est épaisse, plus la vague sera puissante.
Lorsqu'un surfeur a fini d'évoluer sur sa vague, il doit retourner là où celles-ci commencent à déferler: au line up. C'est la zone située derrière la barre, là où les surfeurs attendent leur tour pour reprendre une vague.
Le leash est le cordon de sécurité qui relie le surfeur à sa planche, pour éviter de la perdre en cas de chute. Il peut être de différentes longueurs et diamètres, pour s'adapter à toutes les tailles de planches. A la différence du surf, en bodyboard, le leash se fixe au niveau du bras.
Fins de vagues faites d'écumes, arrivant sur le bord de la plage après avoir déferlés. Typologie de vagues idéales pour découvrir l'océan et apprendre le bodyboard en toute sécurité.
C'est l'avant ou le nez de la planche de bodyboard.
L'outline correspond à la silhouette d’une planche de bodyboard, vue de dessus, et détermine son comportement sur la vague. C’est une combinaison entre la longueur, largeur, le positionnement du wide point (le point le plus large) et la forme du tail.
Fins de vagues faites d'écumes, arrivant sur le bord de la plage après avoir déferlés. Typologie de vagues idéales pour apprendre le surf en toute sécurité.
L’outside désigne la première section de la vague, celle qui casse généralement au fond.
Un vent est dit "onshore" (aussi appelé vent de mer), lorsqu'il souffle de la mer vers la terre. Il a tendance à aplatir les vagues et créer du clapot. Moins favorable pour la pratique du surf.
Les palmes sont les accessoires qui se mettent aux pieds pour se propulser et partir sur la vague. Elles sont généralement courtes et rigides. Pour éviter de les perdre dans de grosses conditions, il est recommandé de les sécuriser en les fixant par l'intermédiaire d'un leash aux chevilles.
Zone optimale pour prendre la vague. Généralement là où la pente est la plus raide.
Le surf et le bodyboard sont bien connus pour être des sports libres, cependant tous les surfeurs doivent connaître les règles de priorités pour conserver une bonne entente à l'eau. Les objectifs sont bien d'éviter les accidents et de respecter les vagues de chacun. Bien entendu, la règle la plus importante est celle du savoir-vivre et de la courtoisie.
La période, c'est le temps qui sépare 2 vagues consécutives. Elle est indiquée sur les prévisions météorologiques à côté de la taille des vagues, et s'exprime en secondes. Plus la période est élevée, plus les vagues seront puissantes et rapides.
Sur ce type de spot, les vagues déferlent en s'enroulant autour d'une pointe ou d'un cap. Généralement grâce à un fond rocheux, mais parfois sableux.
C'est le nom donné à l'ensemble de vos planches.
Sur ces spots, les vagues sont régulières, souvent longues et souvent tubulaires. Ce sont les récifs qui provoquent le déferlement des vagues.
Au cours d'un roller, le surfeur va venir "frapper" la lèvre avec sa planche, à l'endroit le plus critique de la vague. En sortant de cette manoeuvre, si elle est bien exécutée, le gain de vitesse est assez important.
El rollo est une des figures emblématiques en bodyboard. Elle consiste à effectuer une rotation de côté, en venant prendre appuis sur la lèvre de la vague et tourner avec elle pour retomber en bas. Cette manoeuvre est parfaitement maîtriser lorsque le rider l'exécute sans forcer, sur n'importe quelle taille de vague.
Dans le jargon, "rider", est le mot employé pour désigner le pratiquant de bodyboard (également utilisé dans la plupart des sports de glisse).
Les rails sont les côtés de votre planche de bodyboard. Ils ont un rôle crucial, car ils viennent se planter dans l’eau lors d’une courbe serrée. C’est le point d’accroche de votre planche! La forme du rail fait varier la flottabilité, la maniabilité et la nervosité de votre planche.
Lorsqu'une vague ne déroule pas de manière régulière et continue, elle déroule par sections. Elle "casse" à différents endroits en même temps, ce qui empêche le surfeur d'évoluer sur toute la vague.
Les stringers sont des "tubes" à l'intérieur de la mousse du bodyboard. Ils peuvent être de différentes formes et apportent de la rigidité à la planche pour augmenter la vitesse et la réactivité, en particulier dans des vagues creuses et puissantes.
On parle de série lorsque les vagues arrivent par groupe. Généralement 6 à 7 vagues consécutives.
Le slick est le dessous de la planche, plus particulièrement la matière (l'effet plastifié) qui permet de glisser.
Le shorebreak désigne les vagues qui cassent en bord de plage. Il peut être très violent. C'est pourquoi nous déconseillons aux débutants ne connaissant pas bien la mer d'apprendre le surf dans ce type de vagues !
Vent qui est parallèle à la plage.
Terme anglais pour désigner la houle. Mouvement de l'océan formant des ondes dont les crêtes s’arrondissent sans déferler.
Terme anglophone qui désigne l'arrière de la planche. Souvent associés aux "channels", qui sont les formes sous la planche, pour favoriser l'évacuation de l'eau, et ainsi augmenter la vitesse ou la réactivité de la planche.
C'est la cire ou paraffine à appliquer avant chaque session sur le pont (le dessus) de la planche. Elle permet au surfeur de profiter pleinement de sa session, sans avoir une savonnette sous les pieds. Il faut la choisir suivant la température de l'eau. Préférez ainsi une wax moelleuse lorsque l’eau est froide et une wax plus dure dans les eaux tropicales et chaudes.
Ce spot reconnu mondialement est situé en Californie, proche du port de Newport Beach. Il a la particularité d'avoir pour un shore break (vague qui casse en bord de plage) énorme, pouvant atteindre une dizaine de mètres. Les meilleurs bodyboardeurs du monde entier viennent s'y essayer.
Cette figure consiste à réaliser une rotation à 360° sur la vague. Si ce tricks est exécuter en l'air, on parle alors de 360 Air ou de "3-6 Air".
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