1/ Varier les allures
Chaque coureur possède une palette d’allures qu’il convient de visiter à l’entraînement. Du trot lent ne déclenchant pas d’essoufflement au sprint court ne pouvant être soutenu plus d’une vingtaine de secondes, il est indispensable de changer régulièrement de rythme afin de tordre le cou à une certaine monotonie.
Il faut donc veiller à équilibrer son cycle d’entraînement hebdomadaire autour de séances aux programmes différents. En respectant ces quelques fondamentaux :
- Une séance longue à réaliser à l’allure endurance (vous devez être capable de parler sans gêne) dont la durée augmente progressivement jusqu’à atteindre une heure si vous préparez un 10km en compétition et 2h30 si vous préparez un marathon.
- Une séance de fractionné soit en nature, soit sur une piste d’athlétisme.
- Une ou deux séances de footing effectuées aux sensations – avec si vous le pouvez des séquences dites au seuil ou à l’allure qui sera la vôtre lors de votre prochaine compétition (si vous en avez une de programmée).