L’équipement : clé de la pratique
Comme tout sport, le vélo intermodal requiert un équipement spécifique. Pour pratiquer le vélo intermodal, il faut donc un vélo adapté : qui puisse vous suivre dans les transports sans vous causer d’ennuis, se glisser dans votre voiture ou celle de votre collègue pour un co-voiturage de dernière minute, rentrer dans votre cage d’ascenseur et trouver une place dans votre appartement…
Les trois caractéristiques du vélo intermodal :
Il est pliant. En quelques secondes, votre vélo devient comme une valise que vous faites glisser d’une main à vos côtés. Ni vu, ni connu.
Il est léger. Il peut monter quelques marches avec vous (et vous faire travailler les bras !)
Il est discret. Tel un fidèle petit compagnon, il attend que vous journée de travail se termine sagement rangé sous le bureau (NB : argument non valable si vous choisissez un modèle rouge).
Bien sûr, le casque est essentiel, mais quelques accessoires bien choisis peuvent rendre la pratique encore plus agréable : un panier amovible, une housse de protection, des vêtements respirants, etc.
Plus vos trajets à vélo intermodal sont longs, plus vous aurez peut-être envie de vous orienter vers un vélo pliant électrique : vous pédalez toujours, mais, comme si vous aviez de supers pouvoirs, chaque coup de pédale vous propulse plus loin que vous ne l’auriez jamais pu !
C’est ça, aussi, le vélo intermodal : se dépasser, pour s’ouvrir à de nouveaux horizons (elle n’est pas mal cette phrase, pour achever votre présentation du vélo intermodal et briller en société, non ?).