La fédération des sports et loisirs canins officiellement agréée !
Amoureux.se des chiens, réjouissez-vous ! La Fédération des Sports et Loisirs Canins a officiellement reçu son agrément de la part du Ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques, le 7 septembre dernier.
Depuis le premier confinement, les chiens ont encore renforcé leur statut de meilleur ami de l’Homme, mais leur a-t-on vraiment bien rendu la pareille ? Faire du sport avec son chien peut être un bon moyen de contribuer à son bien-être. Ça tombe bien, la Fédération des Sports et Loisirs Canins vient de recevoir son agrément officiel ! On s’inscrit quand ?
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Un agrément officiel pour la fédération des sports et loisirs canins
“C’est avec une grande joie que je vous annonce l’attribution d’un agrément ministériel à la Fédération des Sports et Loisirs Canins”, exprime Yvon Lasbleiz, président de la Fédération des Sports et Loisirs Canins dans un communiqué de presse dédié au sujet, “Merci d’avoir donné de votre temps sans compter pour qu’enfin le sport monochien détienne ce sésame”. Et c’est désormais chose faite, puisque la Fédération des Sports et Loisirs Canins a enfin reçu l’agrément tant convoité, le 7 septembre dernier !
Mais à quoi sert cet agrément ? Bon, pour vous, pas à grand-chose, si ce n’est la possibilité de voir le coût de votre inscription réduite au moyen du Pass’Sport, si vous y êtes éligible. Mais pour la fédération ou l’association concernée, c’est une belle possibilité d’obtenir des subventions, parfois vitales pour la pérennité de certains clubs.
Qui plus est, cet agrément représente une véritable reconnaissance des disciplines concernées comme sport à part entière. L’occasion pour ses pratiquant.es de faire taire les clichés autour de leur pratique : “Non Michel, ce n’est pas `juste une balade`, c’est un canicross, tu ne peux pas venir, déso”.
Tous sont des sports dits “monochiens”, qui ne requièrent donc - comme le nom de leur catégorie l’indique - qu’un seul chien pour pouvoir être pratiqués (vous pouvez toujours essayer de le faire avec plus de chiens, mais on ne vous promet pas d’en ressortir indemne). Au travers de ces activités, vous vous dépenserez tout autant que votre petite (ou grosse) boule de poils ! Et si chacun y met du sien, vous pourriez même rafler quelques prix lors de vos prochaines courses officielles.
Les sports concernés par cet agrément sont au nombre de trois :
• Le canicross, qui consiste en une course aux côtés de son chien, attaché à une ligne de trait flexible pour éviter les à-coups, peu agréables pour votre chien comme pour vous.
• Le caniVTT, pratiqué au moyen d’une barre spécifique fixée au vélo, et reliée par son autre extrémité à une ligne de trait flexible.
• Le canitrottinette, pratiqué avec une trottinette bien spécifique à grandes roues, et une ligne flexible reliant votre chien à ladite trottinette.
Maillage vers : https://conseilsport.decathlon.fr/6-bonnes-raisons-de-courir-avec-son-chien
S’équiper chez Decathlon pour les sports monochiens : https://www.decathlon.fr/search?Ntt=laisse+cani
“Pour la FSLC, l’essentiel reste de courir pour le bien-être et le plaisir de tous : du chien, du maître (ndlr : ou de la maîtresse), des compagnons de course (autres chiens et maîtres·ses), de tous les autres usagers, de la nature, dans le respect de tou.tes”, peut-on lire sur le site. Le message est posé !
Dans ces disciplines, pas question de forcer votre chien à quoi que ce soit, au risque - au même titre que vous - qu’il se blesse et se montre frileux à la pratique par la suite. Pour réussir ses sorties avec Médor, c’est un véritable partenariat qui doit se mettre en place entre vous deux : il vous tracte légèrement, se dépense, renifle son environnement, et de votre côté, vous donnez de votre personne pour suivre au mieux son rythme, sans frustration lorsque votre chien ressent le besoin de faire une petite pause. Comme dans toute relation, la communication et l’attention portée l’un à l’autre est la clef du succès !
Pour vous lancer, rien de plus simple, rendez-vous sur notre conseil dédié :
Val leroy
Journaliste - rédactrice web
Journaliste société, passionnée de réseaux sociaux (la Twitter fever, tu connais) et de sport. À mes heures perdues, on me retrouve sur une barre de pole dance ou sous la barre de hip thrust, ça dépend des jours.
