Pour Virginie, le monde se divise en deux catégories : ceux qui sont faits pour le sport, et ceux qui ne le sont pas. Et un jour, la révélation : en fait, la frontière peut être bien plus mince que ça...
Pour Virginie, le monde se divise en deux catégories : ceux qui sont faits pour le sport, et ceux qui ne le sont pas.
Et un jour, la révélation : en fait, la frontière peut être bien plus mince que ça...
Je trouvais que c’était fatiguant. Je ne prenais pas de plaisir, je me trouvais nulle. J’avais la sensation que le sport, ce n’était pas pour moi. Pourtant, ce n’était pas faute d’avoir pris la peine de m’inscrire, cinq ou six fois, dans des salles de sport !
J’aurais pu m’offrir des voyages à la place… bref. Je savais que je voulais faire du sport mais je ne savais pas trop ce que je venais y chercher. C’était quoi, le sport, finalement ?
Quand je voyais mes amis partir faire une rando, je n’y allais pas. Pareil pour le ski ou le roller… Je m’isolais. Et ce n’était pas marrant.
Avouons-le : il n’est pas toujours évident de se motiver à faire du sport. On transpire, c’est dur, on a même parfois mal après une séance intensive, et ce pendant plusieurs jours. Alors pourquoi se démener autant alors que l’appel du canapé se fait fort ? Les bonnes raisons sont multiples, mais on vous en a sélectionné 4 qui vont définitivement vous convaincre de vous y mettre
Mon fils de 7 ans ! Je passais à côté de moments avec mon fils… Et même au quotidien : quand je montais les escaliers, j’étais essoufflée.
J’ai vu une vidéo dans un Decathlon City… Le coach nous disait : “tu n’es pas sportif ? C’est pas grave, viens faire du sport avec d’autres nuls !”. Enfin, pas tout à fait dans ces termes, mais c’était l’idée. Alors je me suis motivée, trois fois par semaine.
C’est cette récurrence qui a changé la donne. Après la naissance de mon fils, je m’y étais un peu mise, à hauteur d’une fois par semaine. Là, je faisais 1 séance de yoga, une de cardio et une de renfo par semaine. C’était complet, varié, et ludique !
Le premier mois, j’ai eu du mal.
Le deuxième mois, ça me barbait, mais j’étais contente après.
Le troisième mois, j’étais contente d’y aller.
Et j’ai vu la différence dans des gestes du quotidien ! J’étais moins fatiguée qu’avant, j’avais plus la pêche, plus d’énergie.
J’étais contente de le faire, et contente des résultats.
Je suis à nouveau inscrite dans une salle de sport. Le côté anonyme est dur.
L’idée est de faire du sport avec des gens, qu’il y ait du lien.
L’éternel “si moi j’y suis arrivé…”.
Sinon, “fais toi ce cadeau !”. Parce que c’en est vraiment un. Pour sa santé, mais pas seulement. Pour un bien être en général. Pour tous les jours. Pour l’estime de soi. Et pour pouvoir participer à plus d’activités.