Retrouvez les définitions complètes pour bien démarrer et comprendre le milieu rugbystique.
en kitesurf, on ne parle pas de « voile » comme on entend souvent, mais d’une aile. C’est ce grand cerf-volant qui va nous tracter sur l’eau, grâce à la force du vent.
ils se situent sous la planche de kitesurf, et permettent de suivre une direction (tout en crantant).
instrument électronique qui permet de connaître la force du vent. Vérifier la force du vent avec un anémomètre est très pratique pour choisir la taille de son aile.
permet au kitesurfeur de piloter son aile de droite à gauche. Elle permet de border son aile (en tirant la barre) ou de choquer l’aile (en poussant la barre).
grand sac pour transporter et stocker son matériel. Il existe aussi des boardbag pour transporter son matériel lors de voyages (ils sont plus épais, plus résistants, parfois munis de roulettes pour les transporter plus facilement).
Il permet de gérer la puissance délivrée par l’aile de kite. On borde son aile en tirant la barre et on choque l’aile en poussant la barre.
la partie avant de l’aile. Il s’agit de la zone du boudin principal de l’aile de kite.
zone ou le vent ne génère plus du tout de traction sur l’aile.
Les lattes gonflables font la structure de l’aile. Elles sont directement relié au bord d’attaque.
Remonter au vent.
anneau relié aux lignes avant de la barre. Il permet de s’accrocher facilement au crochet de la boucle de harnais.
Le fait de cranter consiste à appuyer fortement sur sa jambe arrière lorsque l’on glisse sur l’eau sur sa planche. Bien cranter permettra de remonter au vent et aussi d’engager un saut.
descendre au vent peut être volontaire : on cape pour aller dans une direction qui se situe en dessous de nous, par exemple pour faire un downwind. Descendre au vent peut aussi être la conséquence d’un crantage pas assez franc, et d’une mauvaise position du bassin, qui fait que l’on perd de la latitude par rapport au point de départ. Descendre au vent lorsque c’est involontaire, c’est souvent ce qui arrive aux débutants !
le fait de descendre au vent pour profiter d’une session sans se préoccuper de remonter au vent. Le downwind permet d’aller d’un point A à un point B.
Il s’agit d’une aile profilé relié au dessous de la planche par un mat. Le foil permet à la planche de déjauger facilement. L’absence de frottement donne l’impression de voler au dessus de l’eau.
le freeride consiste à rider sans un objectif précis si ce n’est celui de prendre du plaisir pendant sa session et de profiter au maximum des conditions sur le spot. Le freeride est un mix entre plusieurs disciplines : la vitesse, le carving, le surf et les jump !
consiste à réaliser des figures spécifiques lors de sa session. Il existe deux types de figures freestyle : les figures old-school et new-school (wakestyle).
préparer son aile, c'est-à dire la gonfler, tirer les lignes de la barre et les connecter à l’aile
harnais qui se porte à la taille, et qui permet une plus grande liberté de mouvement par rapport au harnais culotte.
harnais qui se porte à la taille et qui s’enfile comme une culotte. Il est souvent préféré par les débutants car il se place plus bas, de ce fait la boucle d’attache du chicken loop est plus basse et alors le démarrage plus facile. Le harnais culotte apporte généralement plus de confort que le harnais ceinture.
permet de relier l’aile au rider afin de pouvoir récupérer son aile en cas de largage.
se passe dans l’eau, sans planche mais avec l’aile. On pratique surtout la nage tractée lors des cours. Le but, c’est de comprendre comment « faire vivre l’aile » (voir lexique) pour qu’elle ait assez de force pour nous tracter.
On pratique aussi la nage-tractée lorsqu’en navigation, on perd notre planche (cela arrive surtout aux débutants ou lorsqu’on se lance dans les sauts). Il faut alors remonter au vent en nage tractée pour pouvoir la récupérer.
en langage marin, les noeuds expriment la force du vent. 1 noeud = 1,852 km/h
planche dont l’arrière (le tail) est différent de l’avant (le nose). Par exemple, un surf est une planche directionnelle. Le kitesurfeur qui ride avec un surf directionnel devra effectuer une manoeuvre (jibe) lors du changement de direction.
la zone permettant de relier les pieds du kitesurfeurs à sa planche.
quand on donne une impulsion avec notre jambe arrière pour se soulever un peu (c’est un basique pour certaines figures freestyle)
l’inverse de descendre au vent :-) C’est lorsque l’on gagne de la latitude par rapport au point de départ.
Il s’agit de naviguer avec un surf sans strap. Aujourd’hui la plupart des kitesurfeur qui naviguent avec un surf n'utilisent pas de strap.
une planche de surfkite est une planche directionnelle similaire à une planche de surf. Naviguer en surf, permet une navigation plus douce, et donne d’autres sensations de glisse. La pratique du surfkite est un peu plus complexe car on le fait généralement strapless (sans enfiler nos pieds dans des pads) : cela vient compliquer la navigation (il faut une bonne position) et les virements de bords (les demi-tours).
tige en caoutchouc permettant au chicken loop de ne pas se déconnecter du crochet de harnais.
on tire ses lignes lorsque l’on déroule les “ficelles” (que l’on appelle “lignes”) de la barre. Partent de la barre 4 lignes, et on les déroule pour pouvoir les connecter ensuite à l’aile.
se situe au niveau des lignes, vers la barre. Il permet de donner plus ou moins de puissance à l’aile.
une planche de kitesurf “twin-tip” est une planche de kite symétrique à l’avant et à l’arrière, ce qui permet de naviguer de droite à gauche, sans avoir à faire pivoter la planche pour faire les demi-tours.
Le vent est Onshore lorsqu’il souffle principalement de la mer vers la plage. Le kitesurf se pratique uniquement onshore
Le vent est offshore lorsqu’il souffle principalement de la plage vers la mer. Il est fortement déconseillé de naviguer avec du vent offshore. Vent offshore = vente rafaleux + risque de dériver vers le large sans pouvoir revenir sur la plage.
lorsque l’on fait un demi-tour, pour repartir dans l’autre sens.
la balancer de gauche à droite et de droite à gauche pour qu’elle ait assez de force pour nous tracter
ahhhhh ! le water-start ! C’est le début de la gloire ! C’est lorsque, assis dans l’eau, prêt à naviguer, planche aux pieds, on lance l’aile assez fort pour que l’on puisse sortir de l’eau (se mettre debout et commencer la navigation).
Prévision météorologique
c’est lorsque l’on place notre aile à midi, tout en haut, à la verticale.